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PARADOU : "ARMÉNIE- PROVENCE"
En 2010, le Festival a présenté la troupe des 72 danseurs de Goris Sassoun qui ont enthousiasmé tous les spectateurs y compris Charles Aznavour, "l'Arménien des Alpilles"
Cette année, le Festival présente en première exclusivité mondiale, une création musicale entre le virtuose arménien du Doudouk, Levon MINASSIAN et celui, provençal, du Galoubet-Tambourin Jean-François GÉROLD accompagné du groupe Le CONDOR.BILLETS POUR LA SOIREE : 20 euros - 15 euros en prévente
La veille, la superbe exposition photo de Jean KEHAYAN : “L’Ararat pour mémoire”, tirée d’un reportage réalisé pour Libération (textes de Serge Assier) sera également présentée.
ARMENIE : le Doudouk de Levon MINASSIAN
Qui n'a pas pas remarqué les superbes musiques des films "Amen", "La terre vue du ciel", "Va, vis et deviens", "Indigènes", "la Passion du Christ" ? Toutes sont de Levon Minassian, virtuose du Doudouk, cet instrument à vent arménien, si profond, avec lequel il a accompagné des concerts de Peter Gabriel, Sting, Aznavour, I Muvrini...
Pour Levon, associer son instrument à d'autres ne sera donc pas exceptionnel : il l'a déjà mêlé à bien d'autres, notamment ceux du Bulgarian Symphony Orchestra. Mais l'associer au Galoubet sera pour lui une première. Et quelle première, grâce au Galoubet et aux flûtes indiennes de Condor !PROVENCE : le Galoubet de Jean-François GEROLD du CONDOR
Nul besoin de présenter Le Condor, célèbre groupe de la région qui, lors du Festival 2003, avait triomphé en première partie de Tri Yann. Mais cette fois, pour la soirée "Arménie Provence", le challenge est tout autre car il s'agit de s'unir musicalement au géant du Doudouk, une pointure internationale. Un projet qui n'est pas pour déplaire à Jean-François Gérold qui a mené le Condor vers le succès en modernisant la musique traditionnelle de Provence.
Exposition photo “L’Ararat pour Mémoire”
de Jean Kéhayan - textes de Serge Assier : 22/24 juillet
Jean Kéhayan est écrivain, Serge Assier est photographe. Qui a dit qu’un écrivain n’entendait rien à la photographie ou qu’un photographe n’était pas capable d’écrire de belles phrases ? L’exposition “L’Ararat pour Mémoire” de Jean Kéhayan sur des textes de Serge Assier prouve le contraire. L’exposition, tirée d’une série de reportages réalisés pour Libération par Jean Kéhayan, de retour d’Anatolie et découvre le côté turc du mont Ararat qui est tout un symbole pour les Arméniens. Né en 1944 à Marseille, Jean Kéhayan a été journaliste à la Marseillaise, puis au Provençal (Marseille). Il a travaillé à Moscou de 1972 à 1974 à l'agence de presse Novosti.
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Par vbertomeu le 23 Février 2011 à 11:01
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